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Femmes en minijupes dans les années 1960 .H

 


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Il y a cinquante ans, la créatrice britannique Mary Quant lançait la minijupe et les femmes commençaient à remonter leurs jupes. Avec les jupes plus courtes, les collants et les collants à motifs ont remplacé les gaines et les porte-jarretelles. Les photos de femmes en minijupe issues des archives du Chicago Tribune comportent la légende originale publiée ou les informations fournies.

« 20 cm au-dessus du genou ? Oh non, les jupes ne peuvent pas être aussi courtes… ou peut-être ? » —  Photo d’archives du Tribune, 18 juin 1965
Deux Londoniennes portent des tailleurs rayés Christian Dior, courts et ajustés, mettant l’accent sur les hanches. Le tailleur de gauche est à fines rayures bleu marine et blanc, avec un chemisier bleu marine, une jupe-culotte plissée et une cravate à rayures horizontales. La version cardigan est à rayures rouges et blanches, avec des chaussettes et un chemisier écarlates. —  UPI, 12 mai 1966
« La robe-pull de Tiffeau. » Sur un podium à New York. Vous reconnaissez Lauren Hutton ? —  Photo d’archive du Tribune, 7 juillet 1966
Yves Saint-Laurent, benjamin de la haute couture parisienne, propose une conception plus audacieuse que jamais du total look. Il a enrichi cette robe pull de zigzags tricolores, déclinant le rouge, le blanc et le bleu. Des bas en laine à motif losanges associent des tons bleu et rouge discrets ; une casquette en cuir blanc, avec son col en castor noir, est ornée d’une boucle en laiton, tout comme des chaussures en cuir verni à talons épais. Le mannequin est Carol Robins, du lycée dominicain d’Aquinas. —  Photo d’archive du Tribune, 10 septembre 1966
Grands blocs de couleurs et réversible. Lavande et jaune avec des bottes en daim lavande assorties. —  Photo d’archives du Tribune, 14 septembre 1966
« NEW YORK ÉLÉGANT ET CHIC : Chic est le mot d’ordre pour cette robe fourreau jeune et dynamique, portée par l’actrice Joey Heatherton. Cette robe courte, avec son abondance de rayures électriques et ses finitions en cuir, fait partie des « Leather Girls » créées par Don Simonelli pour la collection automne de Mia. » —  UPI, 19 septembre 1966
Des carreaux pied-de-poule abstraits en nylon extensible sont façonnés en collants avec un haut tunique à devant escrimeur et une casquette (20 $) à la boutique Cheetah. —  Ron Bailey, Chicago Tribune, 10 octobre 1966
Cette paire est en dentelle vénitienne. Pam Kimmell, à gauche, du lycée de Wheaton, porte une robe courte en linon turquoise et blanc (35 $), ornée d’un nœud géant et de découpes à l’ourlet. La robe courte en coton à carreaux bleus sur blanc de Teri (22,95 $) présente une large bande de dentelle et un ourlet plus fin. —  Earl Gustie, Chicago Tribune, 3 novembre 1966
Vêtue d’une minijupe évasée style hipster et d’une veste Ikea, la tenue de pluie du créateur britannique Paul Blanche, le mannequin Lorna McDonaugh illumine l’espace de la 59e Rue. De telles tenues pourraient rendre les jours de pluie populaires. —  UPI Telephoto, 9 novembre 1966
Gayle Kirkpatrick, de l’Atelier, utilise du veau imprimé tigre pour une robe de discothèque façon nuisette, maintenue par des bretelles ornées de bijoux. À la boutique Horse of a Different Color. —  Photo d’archive du Tribune, 14 novembre 1966
Mary Quant, la créatrice de mode londonienne aux longues jambes et à la silhouette sexy, était son propre modèle préféré pour les minijupes qui ont habillé la décennie. Quant a baptisé cette mini-jupe courte d’après sa voiture préférée, la Mini Cooper. —  UPI, 21 octobre 1967
« Ma mère a choisi de ne pas accentuer la taille empire de sa robe n° 8383, mais d’utiliser une élégante ceinture chaîne à la taille. La robe de ma fille, de style identique, est confectionnée à partir du patron n° 8384. » —  Earl Gustie, Chicago Tribune, 17 juillet 1968
« Chic en mini, une jeune femme déballe son déjeuner pour le plus grand plaisir des hommes. » —  Jack Mulcahy, Chicago Tribune, 30 janvier 2014
Le motif à damier dynamique du pull ras du cou (environ 16 $), rehaussé de rayures bicolores aux hanches, aux poignets et au col, se retrouve dans les chaussettes hautes. La jupe à coutures passepoilées (environ 11 $) est une coupe trapèze facile à porter. Et, bien sûr, des bottines blanches à enfiler, une autre innovation de Mary Quant. 1965. —  document distribué
« Une journée d’automne pluvieuse et venteuse à Chicago, mais la mode prévaut, qu’il vente ou qu’il pleuve. Seul le maxi-manteau semble offrir une protection contre les éléments, mais l’attention des observateurs de la mode féminine fait du mini-manteau le choix de la plupart des jeunes femmes. » —  Jack Mulcahy, Chicago Tribune, 3 novembre 1969

(via Chicago Tribune)

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